Les dernières recherches sur la physiologie de notre cerveau nous ont permis de comprendre que manger du miel permet d’améliorer son fonctionnement. Notre cerveau possède environ 14 milliards de neurones. Il ne pèse que 2 % de notre poids mais mobilise 29 % du sang . Il consomme environ 20 % de l’énergie totale produite dans notre corps et est donc le plus gros consommateur d’énergie de tous nos organes. Ses besoins sont multiples : sucre, protéine, vitamine B, C, E, lécithine et calcium …
Si le glucose n’est pas consommé entièrement, il pourrait causer des lésions dans les cellules. Cela pourrait amener une certaine lenteur et un manque de sommeil. Un cerveau adulte consomme environ 120 grammes de sucre par jour. Le miel contient le glucose et le fructose (un sucre avec une diffusion plus lente) nécessaire.
Pour les cellules cérébrales la consommation journalière en protéine est d’environ 50 % contre 40 % de lipides. Le miel, en plus des sucres, contient ces protéines à l’intérieur d’un acide aminé.
Il peut améliorer les performances intellectuelles, booster la mémoire et la capacité de concentration. Prendre du miel, en plus de garantir l’approvisionnement adéquat de ces vitamines, mais peut aussi être sédatif. Des essais cliniques des États-Unis ont trouvé que les patients atteints de démence qui ont continué à prendre du miel peuvent reconstituer une partie de leur mémoire. Il semblerait de plus qu’il y ait un lien entre le miel et l’amélioration de la myopie…
Quels sont les différents constituants qui pourraient avoir un rôle bénéfique sur notre cerveau ?
Le calcium
Il peut améliorer la mémoire et la concentration. Le miel est riche en calcium, magnésium, phosphore et autres minéraux, qui ont de nombreux avantages nutritionnels pour le cerveau.
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La lipase
Aurait un rôle sur la capacité d’apprentissage. Le miel contient également un certain nombre d’acides gras, très utiles pour améliorer la capacité d’apprentissage dans le cerveau…
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L’acétylcholine
Cette substance est présente dans les informations qui passent entre les cellules cérébrales : on les appelle des neurotransmetteurs. Lorsque leur contenu est élevé, la mémoire et les trajets nerveux des l’information cerveau est forte, la vitesse de transmission des informations est rapide entre les nerfs crâniens. La mémoire s’améliore, et plusieurs fonctions du cerveau sont également boostées, Au contraire, si l’on réduit le contenu d’acétylcholine dans le cerveau, la vitesse de transfert des informations s’affaiblit et la vitesse de transmission d’informations entre les nerfs crâniens est ralentie et la mémoire du cerveau humain diminue, et il y aura plusieurs dysfonctionnements cérébraux. Les médecins américains ont observé une diminution de l’acétylcholine cérébrale (30 % par rapport aux personnes âgées normales quand ils étaient jeunes, les patients âgés atteints de démence tombent jusqu’à (70 %-80 %) Manger des aliments riches en acétylcholine a un rôle clair dans la prévention de la perte de mémoire…
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La recherche de scientifiques dans les pays anglo-saxons tend aussi à montrer également que, à condition de fournir suffisamment d’ acétylcholine de manière contrôlée, on peut éviter la perte de mémoire chez les 60 ans et au-delà. Par conséquent, pour maintenir et améliorer la teneur en acétylcholine dans le cerveau et réduire les difficultés de mémoire, le miel semble indiqué.
Le miel contient de l’acétylcholine, qui ne peut pas nécessairement être absorbé et utilisé par le corps par la synthèse des cellules neuronaux directement. Le miel contient une grande quantité de acétylcholine qui se diffuse dans le corps à partir de réactions métaboliques et c’est à ce moment qu’il vq devenir actif. Par conséquent, en prenant le miel on augmenter la quantité d’acétylcholine dans le cerveau, favorisant ainsi l’activation de la vitesse de transmission entre les neurones et pas là même améliorer ses capacités de réponse, de mémoire et de compréhension.